Le Prix
du
livre d'Humour de Résistance
2023/2024
Est décerné à l'unanimité de son jury
par
" La Maison de l'Humour de Cluny'
au livre
- " Pour Tommy-22 janvier 1944 "
- " Pour Tommy-20 janvier 1944 "
- La thérapie par le rire - Introduire l'humour en psychothérapie
- " L'Humour contre la violence "
La confrontation entre censure et liberté d’expression n’est jamais aussi forte que lorsqu’il est question de faire rire : l’humour est-il un contre-pouvoir, un moyen de résister et de lutter contre l’aliénation et les totalitarismes, ou bien n’exprime-t-il que la violence et sa montée en puissance dans les sociétés contemporaines ? En quoi l’humour peut-il se révéler une arme politique, sociale ?
De l’art du graffiti et de la caricature à l’autodérision poétisée par Baudelaire, en passant par la répression du rire au Moyen Âge ou par le détournement des caricatures dans le Brésil de Bolsonaro, les auteurs de ce collectif interrogent le pouvoir contestataire mais aussi salvateur de l’humour.
À travers une iconographie riche et variée, depuis les caricatures de Daumier jusqu’aux graffiti qui parcourent les murs de São Paulo, l’humour fait aussi dialoguer le verbe et le geste, le langage et l’image, met parfois à distance, et toujours dans l’idée de provoquer le rire, cet acte que Nietzsche qualifie de vital et dont le caractère spontané est indissociable de l’idée même de liberté.
- " Dictionnaire de la vie postmoderne "
Dans la tradition de l’humour noir, de Flaubert à Ambrose Bierce et Pierre Desproges, ce dictionnaire se lit comme une radiographie jubilatoire de notre société contemporaine.
L’objectif : décrire le monde comme l’ornithologue décrit les oiseaux : avec rigueur, distance, étonnement – crainte et incompréhension parfois, mais surtout : sans jugement. Les entrées se présentent comme autant d’aphorismes mordants et visionnaires sur la condition humaine, tantôt émaillées d’illustrations et de légendes.
ACTIVISME. Divertissement de l’électorat de gauche.
ADOLESCENCE. Maladie infantile causée par les perturbateurs endocriniens.
APOLITISME. Pudeur de l’électorat de droite.
AVENIR. Encore disponible, mais en stock limité.
BIODÉGRADABLE. État rêvé de la matière.
BOURGEOIS. Tous les autres sont bourgeois. Pas moi.
COLLAPSOLOGIE. Fonctionnarisation du nihilisme.
COMPÉTITION. Forme actuelle du contrat social.
MASQUE. Tout le monde en porte un.
MORT. Tout le monde va mourir, sauf Elon Musk.
OUBLI. Condition sine qua non de la vie postmoderne, sans quoi celle-ci devient insupportable.
- "Le rire ou la vie "
- " Les sautes d'humour de Mozart père et fils "
- "Tout est possible "
- " Mais où est donc passé ce crétin de machin? "
Jacques, père d’une famille composée de deux géniteurs et quatre rejetons, est d’humeur maussade.
Alors que la petite tribu traverse l’Europe en direction de LEGOLAND pendant les relâches d’automne, Jaïko, leur idiot de chien fidèle, se fait la belle depuis la pension animalière où il est logé. Le bougre fugue. S’ensuit une enquête surréaliste dans le Valais central pour retrouver l’évadé.
Une aventure rocambolesque, faite de rencontres plus improbables les unes que les autres : un chasseur à la gâchette facile, une bonne soeur aux insinuations mystiques, une communicatrice animale, un Anglais et son chiwawa en fin de vie, et plus de cent cinquante volontaires prêts à vivre une trépidante chasse à courre.
Et dans cette histoire, tout est vrai.
Ou presque.
Jacques Métrailler et Benoît Schmid se sont rencontrés sur les bancs de l’École supérieure de commerce de Sion. C’était pas forcément bien parti pour la rigolade. L’un est devenu économiste et humoriste ; l’autre dessinateur et réalisateur. Ils se retrouvent aujourd’hui pour le joyeux fruit de leur collaboration, fruit 100% AOC Valais, que vous tenez entre vos délicates mimines.
- " Memoires intimes d'un pauvre vieux essayant de survivre dans un monde hostile "
- " En arrivant au paradis "
- " On peut rire de tout sauf en mangeant de la semoule"
sauf en mangeant de la semoule ! ou des petits pois, ou du riz, enfin bref pas la bouche pleine.
- " Faites l'humour dès le premier soir "
Osez faire l'humour dès le premier soir et disséminez la joie !
Que vous soyez actif-blagueur ou passif-rieur, ce livre est une invitation à se marrer tous ensemble. L'humour est un merveilleux lubrifiant social : grâce à lui, tout glisse, tout passe en douceur et pour le plus grand bonheur de tous.
Avec un style soigné et amusant, les deux auteures décryptent pour vous les subtilités pour bien faire l'humour en toute situation. Elles vous accompagnent sur le joyeux chemin de l'humour libre et abordent des sujets essentiels comme le consentement ou la liberté d'expression.
Les témoignages de Philippe Geluck, Nicole Ferroni, Bruno Solo, Claudia Tagbo, Manu Payet, Elodie Poux et Bertrand Usclat vous révéleront que même les pros de l'humour sont des rieurs et des blagueurs comme les autres.
- " Petit éloge du rire "
D’où vient le rire et existe-t-il un gène du rire ? Un enfant drôle peut-il devenir un adulte con ? Humour, sexe et séduction, ça va ensemble ?
Et humour et féminisme ? Le rire sauvera-t-il votre compte en banque ? Peut-on rire à un enterrement ?
De la naissance à la mort, partez à la rencontre des grandes questions autour de l’humour que vous n’avez jamais osé vous poser ! Jessica et Julie vous embarquent pour un voyage fait de blagues, anecdotes, situations gênantes mais surtout de découvertes et informations (avérées, on ne fait pas que rigoler non plus) pour décoder l’humour. De quoi apprendre et partir en fou rire une page sur deux !
Vous slalomerez entre enquêtes, interviews d’humoristes (Michaël Hirsch, Lison Daniel, Alex Vizorek) et de professionnels de santé (une sage-femme, un pédopsychiatre...). Et tout du long, retrouvez des citations, mèmes et des quiz à mourir de rire !
« Nous croyons que l’humour est nécessaire, tout comme l’air, et que le rire rallonge l’espérance de vie. »
- " Nik ta race - Une histoire du rire en France"
- " La vie absolue "
« Ici repose Jacques Lormeau (1962-1996). Il m'a fallu un certain temps pour renouer avec cette identité révolue, mais je comprends désormais l'urgence qui m'a ramené à mon point de départ. »
Vingt-cinq ans après l'immense succès de La vie interdite, Didier van Cauwelaert « ressuscite » l'un de ses personnages emblématiques. Jacques, sur décision de justice, est exhumé dans le cadre d'une recherche de paternité. Dès lors, l'esprit de ce quincaillier de 34 ans se retrouve englué malgré lui dans les passions, les mensonges et les mesquineries de la petite ville de province qui se déchire autour de sa mémoire.
Comment sauver la jeune femme brisée qui voudrait tant être sa fille ? Lui qui est passé à côté de sa vie n'a aucune envie de rater sa mort, mais quelle est sa marge de manoeuvre ? Quand on n'est plus de ce monde, a-t-on encore les moyens de le changer ?
Avec son humour ravageur et sa tendresse poignante, le prix Goncourt 1994 nous entraîne dans le fascinant voyage posthume qui, peut-être, nous attend tous.
- " Humour - Sens et interprétation "
L'humour s'épanche sans contrainte à travers le langage. Les mots se délient, renversent les automatises figés, libèrent leurs valeurs stylistiques et dégagent leurs saveurs expressives avec une délectation jouissive. Les phrases s'enchaînent et accentuent l'effet en flirtant avec les affects et les sensibilités. De là, prolifèrent les jeux de mots, les calembours, les contrepèteries, les anagrammes et d'autres qui cristalliseront pleinement l'humour.
- " Le petit livre des méchancetés "
- " Un bibliographe au pays des fous "
- " Dictionnaire amoureux du mauvais goût "
Nul n'est plus fuyant que le mauvais goût. Qu'il soit relatif, ancré dans son temps, frontière sociale ou revendiqué tel une profession de foi artistique. Dans ce Dictionnaire amoureux intime et partial, Nicolas d'Estienne d'Orves vous invite dans son grenier braillard et cocasse.
Le mauvais goût échappe à toute définition, famille ou clan. Tout comme le bon goût, il est relatif, circonstanciel, ancré dans son temps.
Il peut également être une frontière sociale, un racisme de classe. En ce cas, le mauvais goût c'est celui de l'autre, celui qu'on n'a pas et qu'on se défend d'avoir au risque de trahir les siens.
Enfin il y a le mauvais goût patenté, revendiqué, qui n'est pas une attitude, une mode, mais une profession de foi artistique, un manifeste esthétique. C'est -sans doute- ce qu'on pourrait appeler le kitsch. C'est-à-dire un style en soi, des formes volontaires, pensées, destinées à déranger la norme.
Ce livre sera donc, par essence, partial. Avec le mauvais goût, j'entre dans une zone marécageuse. Est-il possible de faire un livre plus intime, plus narcissique, puisqu'il explore la part d'ombre de ma propre sensibilité ?
Petit enfant sous Giscard, adolescent sous Mitterrand, j'ai pris racine dans des époques aux esthétiques très contrastées qui seront forcément présentes dans ces pages. Souvenirs intimes, émissions de télévision, films, livres, plats, commerces, personnages imaginaires ou pas, attitudes de tous poils, mon mauvais goût est une auberge qui n'a rien d'espagnole mais tout d'un grenier. Un grenier braillard et cocasse, que j'ai moi-même tenté de ranger pour les besoins de la cause.
- Raymond de rond en large
Quelle chance!
Découvrez enfin ce personnage hors-norme
clown, musicien et jongleur de mots,
au destin chambouleversé dès l’enfance
et qui réussit à plier le réel à sa volonté
en créant un univers
où l’imaginaire est roi
où l’absurde est loi
et les mots sens dessus dessous,
Vous connaissez Raymond Devos?
Vous avez sans doute l’image
d’un homme bidonnant,
bedonnant,
donnant beaucoup?
Ce ventre en dit long
en dit large...
en dit rond
sur sa vie,
la voici!
Mireur d’oeufs, voilà l’étrange métier qu’adolescent, Raymond exerça aux Halles de Paris avant-guerre.
Champion de barres parallèles à 15 ans, funambule, monocycliste et pro du trampoline, ce maître des mots créa ses propres instruments, apprit le piano à 60 ans et fit entrer cet instrument... par le toit de sa maison.
Ce livre retrace 20 moments phares de la vie de cet humoureux de la langue française, 20 moments fous (galas et galères, hauts et bas, incursions dans le monde du cinéma, tournées à l’étranger...) rehaussés par des extraits de ses textes dialoguant avec les moments charnières de sa vie, 20 moments forts dessinant le parcours d’un homme qui ayant dû quitter l’école trop tôt y reviendra à travers ces manuels scolaires reprenant ses sketches les plus célèbres.
- " Amour et humour se rencontrent "
Quoi de mieux, dès lors, qu’un bon rire pour dire la proximité de Jésus au cœur même de la mission ?
L’humour comme porte de l’espérance
Des histoires, des flèches et autres graines à semer
Seconde Liste des livres en lice pour ce prix
- "Les vaches de monsieur Burbur "
Dans une Slavanie imaginaire aux frontières de l’Union européenne, un vieux paysan découvre son champ scindé en deux par un haut grillage de fer : la solution de Lukas Pracsiz, président fraîchement élu, pour lutter contre l’immigration clandestine.
Journal de bord foutraque et fantasque des maladies accumulées du poète, cet ensemble s’offre comme un antidote à base d’humour, d’autodérision et de concassage de la langue : « un remède anti-morosité ».
- " Un été avec Jankélévitch "
Né en 1903, mort en 1985 Jankélévitch connu les succès au crépuscule de sa vie et fut l’un des philosophes alors les plus médiatiques.
Il est aujourd’hui le penseur qui convient pour conjurer la désespérance et le pessimisme. Jankélévitch nous apprend le charme de l’instant, les joies de l’action, nous met en garde contre les conformismes de la pensée et les mondes enrégimentés. C’est le pianiste de la philosophie, il joue sur les concepts comme sur un clavier.
Ne manquons pas notre unique matinée de printemps. Jankélévitch disciple d’Alain nous montre que c’est l’heure, que cette heure ne dure qu’un instant. Le vent se lève, c’est maintenant ou jamais. Cynthia Fleury, philosophe, psychanalyste, auteur à succès d’ouvrages sur la fin du courage, le soin ou le ressentiment nous offre un été avec Jankélévitch allègre plein de paradoxes sur le temps et son irréversibilité.
Un dialogue sur la jeunesse d’esprit qui est le meilleur remède contre les passions tristes qui nous menacent.
- " De mieux en mieux "
Avec son regard placide et unique, il dessine de façon audacieuse des saynètes subtiles et réfléchies qui font instantanément mouche. Son humour fin permet au lecteur de se replonger dans plusieurs années de nouvelles à travers ses travaux pour le fameux le magazine anglomane.
Un vibrant hommage à cette tradition du dessin de presse et une manière habile, parfois tendre ou humoristique mais toujours juste, de découvrir le travail de l'artiste.
- " Regards sur la fin de vie "
Le sujet de la mort demeure un tabou toujours délicat à briser bien qu’il concerne tout le monde.
C’est dans l’optique de proposer une réflexion et de favoriser la saine discussion que l’organisme Albatros Centre-Mauricie a fait paraître ce petit recueil de bandes dessinées réalisées par les créateurs de " Dans la tête" dessiné par François Bruneau
Des bandes dessinées pour parler de la mort? Bien sûr, pourquoi pas?
« On se rend compte que beaucoup de gens ne nous connaissent pas encore, même après 40 ans d’existence » dit la directrice générale d’Albatros Centre-Mauricie Karine Bissonnette.
« Ça tient à ce que la mort, la fin de vie, le deuil, c’est encore tabou dans notre société. Comme notre mission est d’accompagner les gens en fin de vie et leurs proches mais aussi de former la communauté à l’accompagnement en soins palliatifs, on s’est dit qu’il fallait parler de ces sujets-là différemment pour les faire voir autrement. On a mis en place toutes sortes d’actions pour s’adresser à des clientèles variées et le recueil de BD en est une.»
" L'enfant qui ne parlait plus "
Quand la réalité est moche, on en invente une autre…
« Avec mon fils et ma culpabilité, nous formons un trio de survivants Je joue mon rôle de victime à merveille, à croire que je me suis découvert une vocation tardive de martyr… Stop. Arrête de t’apitoyer sur ton sort. Fais preuve d’imagination pour une fois dans ta vie. Albert est ta seule raison d’être. Occupe-toi de lui au lieu de jouer les victimes. »
Depuis des mois, Albert ne parle plus. Désemparé, son père s’est fixé une mission : arracher coûte que coûte l’enfant au silence dans lequel il s’est muré.
Pour cela, il va inventer des solutions toujours plus folles pour rendre la parole à son fils. Au cours de leur périple rocambolesque, vont survenir une psy en quête d’amour, un moine en rupture de ban, un colosse ex-taulard et même un singe facétieux.
Un roman bouleversant, un conte poignant, plein de tendresse et de fantaisie, qui dévoile le grand talent humain de Christophe Alévêque.
- " Le livre de Nathan "
Le dernier livre de l’humanité
Le destin est incroyablement railleur. Une étrange apocalypse maritime se déclenche en une nuit et Nathan Verdier devient l’un des seuls survivants d’une humanité privée de ses terres. Sur son bateau de fortune, au milieu des bouteilles vides et de quelques conserves, se trouve son manuscrit, son précieux roman dont aucun éditeur n’a voulu. Et ce livre improbable est le seul à avoir été sauvé des eaux…
D’année en année, de siècle en siècle, ce texte miraculé, qui aurait dû finir dans les archives de la médiocrité, va devenir un objet d’escroquerie, de tentation, de passion et de culte. Cette fois, c’est sûr, il aura le succès qu’il mérite !
Avec Le Livre de Nathan, Nicolas Cartelet explore notre fascination presque sacrée pour les livres et le pouvoir de la fiction sur le monde.
Un regard puissamment malicieux, parfois piquant, sur cette passion romanesque capable de transformer les rêves d’un écrivain en réalité.
- " J'avais si faim d'amour que je me suis fait des pâtes "
Le personnage central du roman, Symi, est une quarantenaire en mal d’amour. Déterminée à changer et à comprendre pourquoi sa vie amoureuse est un fiasco, elle participe à plusieurs stages de développement personnel, dévore tous les livres et magazines dédiés au bien-être qui lui tombent sous la main ; et surfe régulièrement sur internet pour “s’accomplir et découvrir le bonheur”. Mais aucun de ces essais n’est concluant, elle est toujours aussi frustrée et malheureuse.
Comme ses copines ne cessent de lui répéter que l’unique raison de ses échecs est qu’elle ne s’aime pas assez, elle décide de se consacrer à cet “amour de soi” dont tout le monde parle. Elle s’engage alors avec ferveur et naïveté dans l’amour d’elle-même.
C’est ainsi qu’elle vit toutes les étapes d’une relation amoureuse : la rencontre, la séduction, le désir, la passion, la vie à deux… Jusqu’à l’usure du quotidien, auquel même son “mono-couple” n’échappe pas !
Un ouvrage espiègle sur les fausses promesses des vendeurs de bien-être, et les dérives nombrilistes de certaines approches d’accomplissement de soi.
- " L'affaire Sophie M. "
16 décembre 2022, 6h du matin. Le corps de la chanteuse Sophie M. est retrouvé, sans vie, dans la chambre de son appartement.
Victoire Miller, en charge de l’affaire, ne constate aucune effraction ou objet dérobé, pas la moindre trace ADN, juste un objet étrange qui semble n’avoir rien à faire sur une scène de crime : un exemplaire de Sophie la girafe, ce jouet en latex que mâchouillent habituellement les nourrissons…
« Est-il possible d’oublier un enfant sur le chemin de ses vacances, comme on égare une glacière ou une vulgaire valise ? Est-il concevable de vouloir un bébé puis de changer d’avis et de l’abandonner, soit qu’il ne soit pas à son goût, trop bruyant, trop envahissant, malodorant ou pire, mal voyant, soit que son enfante.ment fût le fruit du hasard ?
Que dit la société des parents qui préfèrent le couple à la famille ?
Pourquoi, au mois de décembre 1951, Mr et Mme Rampeau ont-ils quitté la France pour le Kenya, accompagné de leur jeune ange de neuf mois, et en sont revenus, un mois plus tard, les mains vides ? La véritable raison, nulle ne la connaît. »
- "Le Vieux qui mâchonnait des religieuses "
Parfois, c’est un jeu de mots qui amorce le point de départ d’une courte histoire. Une alternance de textes légers et de textes plus graves.
Par ces histoires courtes, j’écris sur moi-même et je m’adresse à tous ceux qui aiment la concision et qui souhaitent s’ouvrir à ce genre littéraire.
Le livre est constitué de 150 textes de deux à quinze lignes. On peut lire ces histoires séparément, dans le tramway ou dans le bus. On peut aussi voir le livre comme un tout, l’équivalent littéraire d’un collage en peinture.
Au long, je préfère le court, au réalisme, l’imaginaire, l’absurde et l’allégorie. Au sentencieux, je préfère l’humour !
écrit l’auteur dans la quatrième de couverture de son livre.
- " In Homo veritas " Denis Fournaud
IN HOMO VERITAS,
- " Mon petit frère "
Les deux frères étaient bien différents.
L'aîné, Jean-Louis : vif, farceur, cancre, séducteur.
Le cadet, Yves-Marie : discret, timide, premier de classe, peu entreprenant auprès des filles...
Ils s'aimaient, si proches, seulement treize mois les séparaient, liés par leurs jeunes années d'un autre siècle à Arras, fils d'un père médecin alcoolique et d'une mère courageuse s'efforçant de tenir le rang de la famille malgré le manque cruel d'argent.
Par ce livre, Jean-Louis Fournier signe une remontée vers l'enfance, dans son style unique, fait de drôlerie, de sensibilité et de nostalgie.
Un hommage émouvant à un petit frère disparu.
Un jeune homme s’installe à Zapotal, un village perdu au fin fond du Mexique en lisière de la jungle.
Il emporte avec lui d’impressionnantes réserves d’opium et d’héroïne pour en finir avec la vie et un cahier dans lequel il entreprend de raconter les derniers instants de son existence. Hanté par des visions et des souvenirs, il oscille entre la vie et la mort dans les limbes magiques du demi-sommeil et de la drogue, se promène au hasard et découvre le Rincón de Juan, un bar où convergent les âmes perdues et où ivrognes et prostituées lui apprennent à fumer des scorpions pour se sevrer. Mais les trous de mémoire se multiplient, les réserves de drogue s’étiolent, le manque se fait plus fort et la mort s’approche inéluctablement.
À moins qu’il ne soit déjà passé de l’autre côté et que cela ne ressemble en rien à ce qu’il avait pu imaginer...
Mateo García Elizondo (Mexico, 1987) est romancier et scénariste. Il a notamment co-écrit le long-métrage Desierto (2015). Ariane Singer dans le Monde des Livres écrit : " l'auteur (...) frappe fort avec ce récit d'un chemin accidenté vers la mort, à la façon d'Au-dessous du volcan, de Malcolm Lowry (1947), ou de Junky, de William Burroughs (1953)
- " Tout blanc "
Avec son humour corrosif et son imagination débridée, Frédéric Ploussard s’amuse des excès de la science.
- " Quand on n'a que l'Humour "
- " Journal d'un scénario "
Depuis que le producteur a validé ainsi son scénario, Boris est aux anges. La magnifique tragédie amoureuse qu’il a intitulée Les servitudes silencieuses verra le jour au cinéma, en noir et blanc, comme dans ses rêves les plus fous. Et tout semble décidément sourire à Boris quand il fait la rencontre d’Aurélie, une jeune femme cinéphile qui se passionne pour le projet. Pourtant le cinéma, comme l’amour, a ses aléas et ses contraintes. Du film d’auteur au navet, il n’y a parfois qu’un pas.
Fabrice Caro développe ici son art de l’absurde dans un délicieux crescendo comique.
- Le Nom De La Rose - Livre premier
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L'ensemble de ces livres sera intégré à la bibliothèque du
“ Centre d'Information, de Documentation et de Recherches
sur l'Humour
Michel Froidevaux ”
CLUNY
https://centremfroidevaux.blogspot.com/2023/04/le-centre-dinformation-de-documentation.html
Avec mes meilleurs sentiments reconnaissants et à vous lire
Etienne Moulron
Fondateur de
« La Maison de l’Humour »
1, avenue Pierre le Vénérable
71250 CLUNY
06.75.48.31.86